PubliĂ©le 10 dĂ©cembre 2019 Le nouvel article du Code civil permet dĂ©sormais au juge aux affaires familiales d’attribuer provisoirement la jouissance du logement de la famille Ă  un

ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Dans son sens commun, le procĂšs pĂ©nal est l’audience de jugement au cours de laquelle le juge va rendre une dĂ©cision de justice aprĂšs avoir successivement entendu le prĂ©venu, le ministĂšre public, les tĂ©moins et les experts. La procĂ©dure applicable varie selon qu’il s’agit d’un procĂšs devant la cour d’assises, compĂ©tente pour connaĂźtre des crimes, d’un procĂšs devant le tribunal correctionnel, compĂ©tent pour les dĂ©lits, ou encore d’un procĂšs devant les juridictions de police, qui connaissent des contraventions. Dans tous les cas, le procĂšs pĂ©nal s’avĂšre guidĂ© par deux grands principes fondamentaux la prĂ©somption d’innocence, qui gouverne le droit de la preuve, et le droit Ă  un procĂšs Ă©quitable. I. — Les grands principes du procĂšs pĂ©nal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure A. — La prĂ©somption d’innocence Le principe de la prĂ©somption d’innocence, prĂ©vu Ă  l’article 8 de la DĂ©claration des droits de l’homme et du citoyen et Ă  l’article 9-1 du Code civil, signifie que le prĂ©venu n’a pas Ă  dĂ©montrer son innocence et qu’il incombe Ă  l’accusation de prouver sa culpabilitĂ©. Ce principe implique deux grandes rĂšgles. D’abord, le doute profite Ă  l’accusĂ©, de sorte que la cour d’assises, le tribunal correctionnel ou le tribunal de police doivent relaxer le prĂ©venu en cas de doute sur sa culpabilitĂ©. Ensuite, la personne poursuivie dispose d’un droit de se taire et de ne pas contribuer Ă  sa propre incrimination, consacrĂ©e Ă  l’article 6 de la Convention europĂ©enne des droits de l’homme ci-aprĂšs CEDH ». DĂšs lors, les Ă©lĂ©ments de preuves utilisĂ©s par l’accusation pour renverser la prĂ©somption d’innocence ne doivent pas ĂȘtre obtenus par la contrainte. B. — Le droit Ă  un procĂšs Ă©quitable ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure 1. — Le droit d’accĂšs Ă  un tribunal Dans une dĂ©cision du 9 avril 1996, le Conseil Constitutionnel a reconnu le droit Ă  un recours devant une juridiction en ces termes Il ne doit pas ĂȘtre apportĂ© d’atteinte substantielle au droit des personnes intĂ©ressĂ©es d’exercer un recours effectif devant une juridiction » DC du 9 avril 1996, n° 96-373. La Cour europĂ©enne des droits de l’homme a ajoutĂ© quelques prĂ©cisions en jugeant que le droit d’accĂšs Ă  un tribunal doit ĂȘtre concret et effectif CEDH, 21 fĂ©vrier 1975, Golder c/ Royaume-Uni, requĂȘte n° 4451/70. Tout individu a le droit de contester, de maniĂšre rĂ©elle et non illusoire, un acte constituant une ingĂ©rence de ses droits. 2. — L’exigence d’un tribunal indĂ©pendant et impartial En vertu de l’article 6-1 de la CEDH, toute personne a droit Ă  ce que sa cause soit entendue devant un tribunal qui doit ĂȘtre Ă©tabli par la loi dans son existence, sa composition et sa compĂ©tence. L’indĂ©pendance est garantie par le statut lĂ©gal et constitutionnel du juge. Toute infĂ©rence doit ĂȘtre Ă©cartĂ©e dans l’exercice des fonctions judiciaires. Le tribunal doit prĂ©senter une apparence d’impartialitĂ©, aussi bien au regard de la conduite personnelle du juge que de sa situation. Il s’agit en effet de s’assurer que le juge ne peut susciter de doute quant Ă  son objectivitĂ© compte tenu de ses fonctions. Ainsi, en vertu de l’article 49, alinĂ©a 2 du code de procĂ©dure pĂ©nale, le juge ne peut participer au jugement de l’affaire qu’il a instruite, Ă  l’exception du juge des enfants qui fait l’objet d’une rĂšgle particuliĂšre. 3. — La publicitĂ© et le dĂ©lai raisonnable La publicitĂ© et le droit Ă  un dĂ©lai raisonnable sont consacrĂ©s Ă  l’article 306 alinĂ©a 1er du code de procĂ©dure pĂ©nale selon lequel Les dĂ©bats sont publics, Ă  moins que la publicitĂ© ne soit dangereuse pour l’ordre ou les mƓurs ». Le principe de la publicitĂ© des dĂ©bats connaĂźt quelques exceptions. Le prĂ©sident de la cour peut ainsi exiger que l’audience se tienne Ă  huis clos, si la victime le demande, lorsque les poursuites sont exercĂ©es du chef de viol ou de tortures et actes de barbarie accompagnĂ©s d’agressions sexuelles, de traite des humains ou de proxĂ©nĂ©tisme aggravĂ©. En vertu de l’article 6 de la CEDH, l’accĂšs Ă  la salle d’audience peut Ă©galement ĂȘtre interdit Ă  la presse et au public lorsque les intĂ©rĂȘts des mineurs ou la protection de la vie privĂ©e des parties au procĂšs l’exigent, ou quand la publicitĂ© serait de nature Ă  porter atteinte aux intĂ©rĂȘts de la justice. Depuis la loi du 3 juin 2016, l’enregistrement des procĂšs devant la cour d’assises n’est obligatoire, sauf renonciation des accusĂ©s, qu’en appel, et l’exploitation de ces enregistrements est limitĂ©e aux seules juridictions, sauf s’ils prĂ©sentent un intĂ©rĂȘt pour la constitution d’archives historiques de la justice. Enfin, toute personne a droit Ă  ce que sa cause soit entendue dans un dĂ©lai raisonnable, ce qui englobe Ă©galement les voies de recours. Toutefois, la durĂ©e excessive de la procĂ©dure peut ouvrir droit Ă  rĂ©paration, mais elle est sans incidence sur la validitĂ© des procĂ©dures Cass. Crim., 24 avril 2013, n° 4. — Les droits de la dĂ©fense et l’égalitĂ© des armes Les droits de la dĂ©fense sont garantis Ă  la fois par le Code de procĂ©dure pĂ©nale article prĂ©liminaire, par la Constitution et par la CEDH. Ces droits, qui doivent ĂȘtre respectĂ©s dĂšs le dĂ©but de l’enquĂȘte et jusqu’à la fin du jugement, impliquent un droit Ă  l’assistance d’un avocat, mĂȘme lorsque le prĂ©venu est absent, et le fait qu’une personne doit ĂȘtre informĂ©e de son droit de se taire et des faits qui lui sont reprochĂ©s. Enfin, en vertu du principe d’égalitĂ© des armes, les parties au procĂšs doivent disposer des mĂȘmes droits. La Cour de cassation a prĂ©cisĂ© qu’il doit en ĂȘtre ainsi du droit, pour l’avocat d’une partie, d’assister Ă  l’audition d’un expert effectuĂ©e sur rĂ©quisitions du procureur de la RĂ©publique, en prĂ©sence de celui-ci Cass. Crim., 11 mai 2010, n° II. — Le dĂ©roulement du procĂšs pĂ©nal devant la cour d’assises ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure A. — La procĂ©dure prĂ©alable Ă  l’audience 1. — La prĂ©paration Ă  la session d’assises Lorsque l’ordonnance du juge d’instruction ou la dĂ©cision de mise en accusation est dĂ©finitive, l’accusĂ© est transfĂ©rĂ© en maison d’arrĂȘt du lieu oĂč se trouve la cour d’assises et sera interrogĂ©, aprĂšs son arrivĂ©e, par le prĂ©sident de la cour d’assises. S’il n’est pas dĂ©tenu, il doit se rendre au greffe de la cour aprĂšs avoir reçu une convocation. Toute absence non justifiĂ©e pourra emporter un mandat d’arrĂȘt. Lors de cet interrogatoire, le prĂ©sident de la cour d’assises invitera l’accusĂ© Ă  choisir un avocat et s’il ne le fait pas, un avocat d’office lui sera alors dĂ©signĂ©. Toutes les piĂšces du dossier s’avĂšrent communiquĂ©es Ă  l’accusĂ© et aux parties civiles. Le ministĂšre public et les parties doivent Ă©galement se signifier la liste des tĂ©moins qui seront entendus, le nom des experts qui seront appelĂ©s et la liste des jurĂ©s. 2. — La constitution du jury Lors des procĂšs devant la cour d’assises, six jurĂ©s, tirĂ©s au sort lors d’une audience publique, sont prĂ©sents. Un ou plusieurs membres supplĂ©mentaires sont Ă©galement dĂ©signĂ©s en cas d’empĂȘchement de l’un des jurĂ©s. Avant l’ouverture des dĂ©bats, le prĂ©sident de la cour d’assises procĂšde Ă  une lecture de l’article 304 du code de procĂ©dure pĂ©nale qui Ă©nonce les devoirs des jurĂ©s. L’article prĂ©voit Ă©galement que chacun des jurĂ©s, appelĂ©s individuellement par le prĂ©sident, rĂ©pond en levant la main “Je le jure” ». B. — L’ouverture des dĂ©bats 1. — Les dĂ©bats Depuis la loi du 10 aoĂ»t 2011, le prĂ©sident de la cour d’assises prĂ©sente, dans un premier temps, les faits reprochĂ©s Ă  l’accusĂ© et les Ă©lĂ©ments Ă  sa charge et Ă  sa dĂ©charge, sans donner son opinion, avant de donner la qualification lĂ©gale des faits. Le prĂ©sident interroge l’accusĂ©. Par la suite, le ministĂšre public ou les parties procĂšdent Ă  l’appel des tĂ©moins qui, avant toute dĂ©position, doivent prĂȘter serment. C’est ensuite Ă  la partie civile ou Ă  son avocat de se prononcer, avant que le ministĂšre public prenne ses rĂ©quisitions et que l’accusĂ© et son avocat prĂ©sentent leur dĂ©fense. L’article 346 du code de procĂ©dure pĂ©nal le prĂ©voit Ă©galement que la partie civile et le ministĂšre public peuvent rĂ©pliquer, mais l’accusĂ© ou son avocat auront toujours la parole les derniers ». Enfin, en vertu de l’article 347 du mĂȘme code, le prĂ©sident de la cour dĂ©clare que les dĂ©bats sont terminĂ©s. 2. — La dĂ©libĂ©ration et la dĂ©cision ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Lors de la dĂ©libĂ©ration, le prĂ©sident donne lecture des questions auxquelles la cour et le jury ont Ă  rĂ©pondre. Chaque question est posĂ©e ainsi L’accusĂ© est-il coupable d’avoir commis tel fait ? ». Une question est posĂ©e sur chaque fait et chaque circonstance aggravante doit faire l’objet d’une question distincte. Avant que la cour d’assises ne se retire, le prĂ©sident donne lecture de l’instruction relative au principe de l’intime conviction, affichĂ©e dans les lieux de la chambre des dĂ©libĂ©rations. Les magistrats et jurĂ©s doivent ensuite dĂ©libĂ©rer et rĂ©pondre, secrĂštement, par oui ou par non Ă  la question de savoir si l’accusĂ© s’avĂšre coupable. La dĂ©cision favorable Ă  l’accusĂ© doit rĂ©unir au moins six voix sur neuf. Lorsqu’ils le dĂ©clare coupable, ils doivent Ă©galement dĂ©libĂ©rer sur l’application de la peine. Une fois que la dĂ©libĂ©ration s’avĂšre faite, le prĂ©sident, dans la salle d’audience rĂ©unie, fait comparaitre l’accusĂ© et prononce le verdict. Ce dernier dispose alors d’un dĂ©lai de six jours pour interjeter appel de la dĂ©cision. III. — Le dĂ©roulement du procĂšs pĂ©nal devant le tribunal correctionnel et les tribunaux de police ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure A. — L’audience et la dĂ©cision du tribunal correctionnel 1. — Les dĂ©bats À moins que le prĂ©venu ne fournisse une excuse valable, celui-ci doit impĂ©rativement comparaitre devant le tribunal. Il peut demander Ă  ĂȘtre jugĂ© en son absence, par lettre adressĂ©e au prĂ©sident du tribunal correctionnel, Ă  condition qu’un avocat soit prĂ©sent pour le reprĂ©senter. L’article 411 du code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit toutefois que si le tribunal estime nĂ©cessaire sa comparution en personne, le prĂ©venu sera rĂ©assignĂ© pour une nouvelle audience. Par ailleurs, la partie lĂ©sĂ©e qui ne l’a pas fait prĂ©cĂ©demment peut se constituer partie civile Ă  l’audience, mais doit le faire, Ă  peine d’irrecevabilitĂ©, avant les rĂ©quisitions du ministĂšre public sur le fond, ou avant les rĂ©quisitions du ministĂšre public sur la peine, si le tribunal a ordonnĂ© l’ajournement du prononcĂ© de la peine. Lors des dĂ©bats, le prĂ©sident du tribunal va interroger le prĂ©venu puis auditionner les tĂ©moins. Les avocats des parties et le ministĂšre public peuvent Ă©galement poser des questions aussi bien au prĂ©venu qu’à la partie civile, aux tĂ©moins et aux autres personnes appelĂ©es Ă  la barre. Enfin, aprĂšs l’exposition de la demande de la partie civile et les rĂ©quisitions du ministĂšre public, l’avocat du prĂ©venu prĂ©sente sa dĂ©fense. 2. — La dĂ©cision Le jugement peut se voir rendu Ă  l’audience mĂȘme Ă  laquelle ont eu lieu les dĂ©bats ou Ă  une date ultĂ©rieure. Dans ce dernier cas, le prĂ©sident du tribunal informera les parties du jour oĂč le jugement sera prononcĂ©. Si le tribunal estime qu’un dĂ©lit s’avĂšre caractĂ©risĂ©, il prononcera la peine applicable et statuera sur l’action civile. Il peut Ă©galement ordonner le versement provisoire, en tout ou partie, des dommages et intĂ©rĂȘts. Si le tribunal estime que le fait pour lequel il se trouve saisi ne constitue qu’une contravention, il prononcera la peine et statuera, le cas Ă©chĂ©ant, sur l’action civile. Si le fait dĂ©fĂ©rĂ© au tribunal sous la qualification de dĂ©lit entraine une peine criminelle, le tribunal doit renvoyer le ministĂšre public Ă  prendre de nouvelles rĂ©quisitions et dĂ©cernera, par la mĂȘme dĂ©cision, un mandat de dĂ©pĂŽt ou d’arrĂȘt contre le prĂ©venu. Enfin, si le tribunal estime que le fait poursuivi ne constitue aucune infraction Ă  la loi ou n’était pas imputable au prĂ©venu, il prononcerait la relaxe. Il pourra Ă©galement statuer, par le mĂȘme jugement, sur la demande en dommages et intĂ©rĂȘts formĂ©e par la personne relaxĂ©e contre la partie civile pour abus de constitution de partie civile. B. — L’audience et la dĂ©cision du tribunal de police Avant le jour de l’audience, le prĂ©sident du tribunal de police peut, sur requĂȘte du ministĂšre public ou de la partie civile, estimer ou faire estimer les dommages, dresser ou faire dresser des procĂšs-verbaux ou ordonner tous actes requĂ©rants cĂ©lĂ©ritĂ©. Les rĂšgles relatives Ă  la constitution de partie civile, au jugement, Ă  la comparution et Ă  la reprĂ©sentation du prĂ©venu devant le tribunal correctionnel s’appliquent Ă©galement Ă  l’audience tenue devant le tribunal de police. Le code prĂ©voit toutefois que lorsque la contravention n’est passible que d’une peine d’amende, le prĂ©venu peut se faire reprĂ©senter par un avocat ou un fondĂ© de procuration spĂ©ciale. Lorsque le tribunal estime que le fait constitue une contravention, il prononcera la peine applicable et statuera sur l’action civile, le cas Ă©chĂ©ant. Toutefois, s’il estime que le fait constitue un crime ou un dĂ©lit, il doit se dĂ©clarer incompĂ©tent et renvoyer le ministĂšre public Ă  se pourvoir de la façon appropriĂ©e. Enfin, lorsque le fait ne constitue ni une contravention, ni un crime ou un dĂ©lit ou qu’il n’est pas Ă©tabli ou pas imputable au prĂ©venu, une relaxe sera prononcĂ©e. IV. — Contacter un avocat ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Pour votre dĂ©fense 100-7 code procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 365-1 code procĂ©dure pĂ©nale 387 10-2 procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 11 code procĂ©dure pĂ©nale 15-3 122-5 code procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 9-1 code de procĂ©dure pĂ©nale 122-7 code procĂ©dure pĂ©nale 131-8 code procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 593 code de procĂ©dure pĂ©nale 89-1 15-3 procĂ©dure pĂ©nale d’abord, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure 1ere comparution code de procĂ©dure pĂ©nale 73 code de procĂ©dure pĂ©nale 85 230-8 code procĂ©dure pĂ©nale 3 principes directeurs de la procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 8 code de procĂ©dure pĂ©nale 803 393 procĂ©dure pĂ©nale 39-3 procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 60-1 code de procĂ©dure pĂ©nale 706-47 4 phases du procĂšs pĂ©nal 4 principes fondamentaux de la justice code de procĂ©dure pĂ©nale 41-2 code de procĂ©dure pĂ©nale 429 4 procĂ©dure pĂ©nale 40-3 procĂ©dure pĂ©nale 6 code de procĂ©dure pĂ©nale 61-1 procĂ©dure pĂ©nale 40-4 procĂ©dure pĂ©nale 4-1 code de procĂ©dure pĂ©nale 41-1 procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 63-1 code de procĂ©dure pĂ©nale 706-3 41-2 procĂ©dure pĂ©nale 41-4 code procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 53 code de procĂ©dure pĂ©nale 568 41-4 procĂ©dure pĂ©nale 41-5 code procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 537 code de procĂ©dure pĂ©nale 550 441-7 code procĂ©dure pĂ©nale puis, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure 475-1 procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 52 code de procĂ©dure pĂ©nale 529 495-7 code procĂ©dure pĂ©nale 495-8 code procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 475-1 code de procĂ©dure pĂ©nale 495-17 5 code procĂ©dure pĂ©nale 5 principes de la justice code procĂ©dure pĂ©nale 2019 5-1 code de procĂ©dure pĂ©nale 5-1 procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 2020 code procĂ©dure pĂ©nale 2021 529-2 procĂ©dure pĂ©nale 529-5 code procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale interpellation code procĂ©dure pĂ©nale 175 712-6 procĂ©dure pĂ©nale 723-7 code procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 6 716-5 code procĂ©dure pĂ©nale 721-3 procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 61-1 ensuite, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure code procĂ©dure pĂ©nale 62-2 717-3 procĂ©dure pĂ©nale 720-4 procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 695-11 code procĂ©dure pĂ©nale 706-73 7 code procĂ©dure pĂ©nale 7 principes code procĂ©dure pĂ©nale 729 code procĂ©dure pĂ©nale 77-1 706-3 procĂ©dure pĂ©nale 712-6 code procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 78-2 code procĂ©dure pĂ©nale 800-2 689-1 procĂ©dure pĂ©nale 696-4 procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale 81 code procĂ©dure pĂ©nale 82-1 59 procĂ©dure pĂ©nale 62-2 procĂ©dure pĂ©nale code procĂ©dure pĂ©nale article 16 code procĂ©dure pĂ©nale article 9 comment fonctionne le tribunal de police comment la police convoque 77-1 procĂ©dure pĂ©nale aussi, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure 77-2 procĂ©dure pĂ©nale cours d’assises spĂ©ciales dans un dĂ©lai raisonnable 77-4 procĂ©dure pĂ©nale 78-6 code procĂ©dure pĂ©nale cour d’assise jurĂ©s cour d’assises cpp 7eme chambre correctionnelle 803-6 procĂ©dure pĂ©nale cour d’assises jurĂ©s cour d’assises spĂ©ciales 85 procĂ©dure pĂ©nale 9 principe gĂ©nĂ©raux cour d’appel ou cour d’appel cour d’assise fonctionnement 9 principes 9 principes gĂ©nĂ©raux cour assises cour d’appel dĂ©roulement 9-1 code procĂ©dure pĂ©nale 9-1 procĂ©dure pĂ©nale cours d procĂ©dure pĂ©nale cours d’assise jugement 9-2 procĂ©dure pĂ©nale 9-3 code de procĂ©dure pĂ©nale contradictoire et droits de la dĂ©fense contrĂŽle d’identitĂ© procĂ©dure pĂ©nale 9-3 procĂ©dure pĂ©nale Ă©videment, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure 99 procĂ©dure pĂ©nale comprendre la procĂ©dure pĂ©nale cour d’appel fonctionnement Ă  l’instruction Ă  un dĂ©lai raisonnable comment se passe un tribunal correctionnel comparution immĂ©diate droits de la dĂ©fense accĂšs jugement tribunal correctionnel armes Ă©gales comment se passe le tribunal correctionnel comment se passe un procĂšs en cour d’assise dĂ©roulement audience cour d’appel dĂ©roulement audience tribunal correctionnel art 6 procĂ©dure pĂ©nale article 1 procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement jugement correctionnel dĂ©roulement jugement cour d’appel article 160 code de procĂ©dure pĂ©nale article 2 procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’une procĂ©dure pĂ©nale schĂ©ma dĂ©roulement instruction article 3 procĂ©dure pĂ©nale mais, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure article 306 code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’une audience devant le tribunal correctionnel dĂ©roulement d’une audience en cour d’appel article 362 code de procĂ©dure pĂ©nale article 380-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’une audience correctionnelle dĂ©roulement d’une audience devant la cour d’appel article 385-1 code de procĂ©dure pĂ©nale article 385-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’une affaire devant le tribunal correctionnel dĂ©roulement d’une procĂ©dure pĂ©nale article 412 alinĂ©a 1 code procĂ©dure pĂ©nale article 412 alinĂ©a 1 du code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’un procĂšs en cour d’appel dĂ©roulement d’un procĂšs en cours d’assises article 41-4 procĂ©dure pĂ©nale article 427 alinĂ©a 1er du code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’un procĂšs devant la cour d’appel dĂ©roulement d’un procĂšs devant le tribunal correctionnel article 5 procĂ©dure pĂ©nale article 503-1 code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’un procĂšs en correctionnel dĂ©roulement d’un tribunal de police article 503-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 520-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement d’un jugement en cour d’appel dĂ©roulement d’un procĂšs correctionnel article 559 code de procĂ©dure pĂ©nale article 6 code procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement du procĂšs pĂ©nal dĂ©roulement d’un jugement au tribunal correctionnel article 6 droit de la dĂ©fense article 6 procĂ©dure pĂ©nale encore, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure dĂ©roulement de la procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement du procĂšs article 7 code procĂ©dure pĂ©nale article 7 procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement cour d’appel dĂ©roulement de la procĂ©dure devant la cour d’appel article 71 du code de procĂ©dure pĂ©nale article 9 procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement audience tribunal de police dĂ©roulement de la procĂ©dure devant le tribunal de police code de procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 114 article 97 du code de procĂ©dure pĂ©nale article d 262 du code de procĂ©dure pĂ©nale code de procĂ©dure pĂ©nale 353 code de procĂ©dure pĂ©nale 395 assister procĂšs cours d’assise paris association pour la dĂ©fense des droits de l’homme avec un dĂ©lai raisonnable but droits de la dĂ©fense c’est quoi la procĂ©dure pĂ©nale c’est quoi tribunal correctionnel code de procĂ©dure pĂ©nale 145 code de procĂ©dure pĂ©nale 1958 c’est quoi un dĂ©lai raisonnable Ă©galement, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure cĂ©sure du procĂšs pĂ©nal dĂ©finition chambre d’instruction chambre d’instruction c’est quoi dĂ©lai raisonnable d’un an dĂ©lai raisonnable jugement chambre d’instruction dĂ©roulement citĂ© a prĂ©venu tribunal correctionnel art citation Ă©galitĂ© des armes dĂ©roulement jugement en cour d’appel dĂ©roulement procĂ©dure cour d’appel citation sur le procĂšs pĂ©nal citation sur les droits de la dĂ©fense dans un dĂ©lai raisonnable français dc 2 dĂ©cembre 1976 droits de la dĂ©fense dĂ©claration des principes fondamentaux de justice relatifs aux victimes de la criminalitĂ© de tribunal de police dĂ©fense des droits de la propriĂ©tĂ© intellectuelle dĂ©fense droit de la famille dĂ©lai raisonnable dĂ©finition dĂ©lai raisonnable jurisprudence dĂ©fense droits de la femme dĂ©finition de le procĂšs pĂ©nal dĂ©finition du procĂšs pĂ©nal dĂ©lai raisonnable dĂ©lai raisonnable justice dĂ©finition la dĂ©fense des droits de l’homme dĂ©finition prĂ©venu droit pĂ©nal dĂ©lai raisonnable un an dĂ©lai raisonnable un an conseil d’état dĂ©roulĂ© procĂšs assises dĂ©roulĂ© procĂšs pĂ©nal dĂ©roulement procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement procĂšs assises de mĂȘme, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure droit Ă  la lĂ©gitime dĂ©fense droit Ă  l’égalitĂ© des armes dĂ©roulement procĂšs cour d’appel dĂ©roulement procĂšs cour d’appel prud’hommes droit de la dĂ©fense droit de la dĂ©fense administrative dĂ©roulement procĂšs cour d’assises dĂ©roulement procĂšs en assise droit de la dĂ©fense du salariĂ© droit de la dĂ©fense en matiĂšre disciplinaire dĂ©roulement procĂšs pĂ©nal dĂ©roulement procĂšs tribunal correctionnel droit de la dĂ©fense droit fondamental droit de la dĂ©fense en procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement tribunal correctionnel diffĂ©rentes phases du procĂšs pĂ©nal droit Ă  la dĂ©fense droit Ă  un dĂ©lai raisonnable de jugement des dĂ©lais raisonnable droits de la dĂ©fense procĂ©dure droits de la dĂ©fense procĂ©dure administrative Ă©galitĂ© des armes en droit Ă©galitĂ© des armes en droit fiscal droits de la dĂ©fense procĂ©dure civile droits de la 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armes cedh enfin, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure principe d’égalitĂ© des armes conseil d’état le droit Ă  un tribunal indĂ©pendant et impartial le principe de l’égalitĂ© des armes principe directeur du procĂšs pĂ©nal principe directeur procĂ©dure pĂ©nale le principe de l’égalitĂ© des armes dans le procĂšs pĂ©nal le procĂšs Ă©quitable en droit pĂ©nal principe de proportionnalitĂ© procĂ©dure pĂ©nale principe d’égalitĂ© des armes le procĂšs Ă©quitable en procĂ©dure pĂ©nale le procĂšs pĂ©nal principe de loyautĂ© procĂ©dure pĂ©nale principe de nĂ©cessitĂ© procĂ©dure pĂ©nale le procĂšs pĂ©nal Ă  l’épreuve de la gĂ©nĂ©tique principe de l’égalitĂ© des armes principe de l’égalitĂ© des armes cedh le procĂšs pĂ©nal Ă  Rome le procĂšs pĂ©nal dĂ©finition principe du dĂ©lai raisonnable procĂšs au assise le procĂšs pĂ©nal du mineur le procĂšs pĂ©nal en France procĂšs pĂ©nal exemple procĂšs pĂ©nal schĂ©ma toute fois, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure le procĂšs pĂ©nal et le numĂ©rique le procĂšs pĂ©nal n’est pas forcĂ©ment dĂ©clenchĂ© par la victime procĂšs pĂ©nal dĂ©finition juridique procĂšs pĂ©nal dĂ©finition simple le respect des droits de la dĂ©fense dĂ©finition le rĂŽle de la victime dans le procĂšs pĂ©nal procĂšs pĂ©nal dĂ©roulement procĂšs pĂ©nal droit de se taire le suspect dans le procĂšs pĂ©nal le tĂ©moin dans le procĂšs pĂ©nal procĂšs en instruction procĂšs pĂ©nal l’égalitĂ© des armes l’égalitĂ© des armes dans le procĂšs pĂ©nal procĂšs de cours d’assises procĂšs-verbal dĂ©finition droit pĂ©nal l’égalitĂ© des armes dans les enceintes judiciaires l’égalitĂ© des armes entre les parties au procĂšs procĂšs d’assises en cours procĂšs d’assises en cours Nanterre les 3 principes directeurs de la procĂ©dure pĂ©nale les buts du procĂšs pĂ©nal sont procĂšs cours d’assise procĂšs cours d’assise paris les cours d’assises les diffĂ©rentes Ă©tapes de la procĂ©dure pĂ©nale procĂšs assises procĂšs assises dĂ©roulement en particulier, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure les diffĂ©rentes Ă©tapes d’un procĂšs pĂ©nal les diffĂ©rentes phases de la procĂ©dure pĂ©nale principes fondamentaux principes fondamentaux de la justice les principes fondamentaux du procĂšs pĂ©nal les principes gĂ©nĂ©raux de la procĂ©dure pĂ©nale l’essentiel de la procĂ©dure civile l’essentiel de la procĂ©dure pĂ©nale les procĂ©dures pĂ©nales les procĂšs en droit pĂ©nal l’exercice des droits de la dĂ©fense ligue pour la dĂ©fense des droits de l’homme avocat juge d’instruction l’instruction dans le procĂšs administratif l’instruction d’une affaire les principes fondamentaux de la justice sociale les principes fondamentaux de la procĂ©dure pĂ©nale l’instruction procĂšs master 2 procĂ©dure pĂ©nale mise en accusation devant la cour d’assises non-respect des droits de la dĂ©fense notion de droits de la dĂ©fense organisation du tribunal correctionnel organisation d’une cour d’appel par un tribunal indĂ©pendant et impartial phase d’instruction procĂšs pĂ©nal phase du procĂšs pĂ©nal les principes fondamentaux de la justice en France les principes fondamentaux de la justice française phase policiĂšre du procĂšs pĂ©nal phase prĂ©paratoire du procĂšs pĂ©nal les principes du procĂšs pĂ©nal les principes fondamentaux de la justice phases de la procĂ©dure pĂ©nale phases du procĂšs pĂ©nal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure les principes directeurs d’un procĂšs pĂ©nal les principes du procĂ©dure pĂ©nale phases d’un procĂšs pĂ©nal poursuite correctionnelle prĂ©somption d’innocence et droits de la dĂ©fense preuve dans le procĂšs pĂ©nal principes directeurs procĂ©dure pĂ©nale principes directeurs procĂšs pĂ©nal cabinet d’avocats pĂ©nalistes paris principes en droit pĂ©nal les diffĂ©rentes phases du procĂšs pĂ©nal les droit de la dĂ©fens principes fondamentaux de la justice administrative principes fondamentaux de la justice en France les principes fondamentaux de la justice aujourd’hui principes fondamentaux de la justice pĂ©nale principes fondamentaux de la procĂ©dure pĂ©nale les principes directeurs du procĂšs pĂ©nal principes fondamentaux du procĂšs pĂ©nal principes fondamentaux justice les principes directeurs de la procĂ©dure pĂ©nale principes fondamentaux la justice principes fondamentaux procĂ©dure pĂ©nale les principes directeur de la procĂ©dure pĂ©nale principes gĂ©nĂ©raux de la procĂ©dure pĂ©nale principes justice pĂ©naliste paris principes de justice principes procĂ©dure pĂ©nale les phases du procĂšs pĂ©nal procĂ©dure appel ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure procĂ©dure correctionnelle les phases de l’instruction procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure de police procĂ©dure d’enquĂȘte pĂ©nale les principes de la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure devant la cour d’assises procĂ©dure d’instruction les immunitĂ©s dans le procĂšs pĂ©nal procĂ©dure d’instruction pĂ©nale procĂ©dure d’irresponsabilitĂ© pĂ©nale les Ă©tapes d’un procĂšs pĂ©nal procĂ©dure d’ordonnance pĂ©nale procĂ©dure et instruction les grands principes du procĂšs pĂ©nal procĂ©dure individuelle procĂ©dure pĂ©nale les phases de la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale 2020 procĂ©dure pĂ©nale 388-1 les grandes Ă©tapes de la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale 41-1 procĂ©dure pĂ©nale 62 les principes directeurs du procĂšs procĂ©dure pĂ©nale accident de la route procĂ©dure pĂ©nale accusatoire les garanties des droits de la dĂ©fense dans la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale appel procĂ©dure pĂ©nale approfondie les grands principes de la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale article 15-3 procĂ©dure pĂ©nale article 304 les droits de la dĂ©fense les droits de la dĂ©fense bafouĂ©s procĂ©dure pĂ©nale article 40 procĂ©dure pĂ©nale article 427 les phases d’un procĂšs pĂ©nal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure procĂ©dure pĂ©nale article 551 procĂ©dure pĂ©nale article 61 les Ă©tapes d’un procĂšs procĂ©dure pĂ©nale article 75 procĂ©dure pĂ©nale cas pratique les grands principes directeurs du procĂšs pĂ©nal procĂ©dure pĂ©nale c’est quoi procĂ©dure pĂ©nale code les Ă©tapes de l’instruction d’une affaire procĂ©dure pĂ©nale cours procĂ©dure pĂ©nale covis les Ă©tapes de la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale dĂ©finition procĂ©dure pĂ©nale dĂ©finition juridique les Ă©tapes du procĂšs pĂ©nal procĂ©dure pĂ©nale dĂ©pĂŽt de plainte procĂ©dure pĂ©nale depuis quand les droits de la dĂ©fense procĂ©dure administrative non contentieuse procĂ©dure pĂ©nale dĂ©rogatoire procĂ©dure pĂ©nale dĂ©roulement les droits de la dĂ©fense procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale devant la cour d’appel procĂ©dure pĂ©nale Ă©galitĂ© des armes ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure les droits de la dĂ©fense pendant la garde Ă  vue procĂ©dure pĂ©nale Ă©lection de domicile procĂ©dure pĂ©nale en cas pratique les droits de la dĂ©fense en procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale en France procĂ©dure pĂ©nale en schĂ©ma avocat procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale en schĂ©mas les droits de la dĂ©fense en matiĂšre pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale et covis 19 procĂ©dure pĂ©nale et licenciement les droits de la dĂ©fense devant la cour pĂ©nale internationale procĂ©dure pĂ©nale et procĂ©dure civile procĂ©dure pĂ©nale Ă©tapes les droits de la dĂ©fense dans la phase prĂ©paratoire du procĂšs pĂ©nal procĂ©dure pĂ©nale Ă©volution procĂ©dure pĂ©nale fiches les droits de la dĂ©fense dans le procĂšs pĂ©nal procĂ©dure pĂ©nale française procĂ©dure pĂ©nale française accusatoire ou inquisitoire tribunal administratif indĂ©pendant tribunal correctionnel dĂ©roulement procĂ©dure pĂ©nale militaire procĂ©dure pĂ©nale nouveautĂ© tribunal correctionnel dĂ©roulement d’une audience procĂ©dure pĂ©nale nullitĂ© textuelle substantielle procĂ©dure pĂ©nale numĂ©rique tribunal correctionnel fonctionnement procĂ©dure pĂ©nale mineur procĂ©dure pĂ©nale mise en examen tribunal correctionnel schĂ©ma procĂ©dure pĂ©nale majeur protĂ©gĂ© procĂ©dure pĂ©nale matiĂšre tribunal de police 4 classe ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure procĂ©dure pĂ©nale l’action publique procĂ©dure pĂ©nale les attributions du procureur de la rĂ©publique tribunal de police c’est quoi procĂ©dure pĂ©nale huissier de justice procĂ©dure pĂ©nale jugement tribunal de police dĂ©roulement procĂ©dure pĂ©nale fraude fiscale procĂ©dure pĂ©nale GenĂšve tribunal de police dĂ©roulement de l’audience procĂ©dure pĂ©nale hĂ©ritiers procĂ©dure pĂ©nale homicide involontaire tribunal de police fonctionnement tribunal dĂ©lai raisonnable procĂ©dure pĂ©nale inquisitoire procĂ©dure pĂ©nale juge d’instruction tribunal des indĂ©pendants procĂ©dure pĂ©nale instruction procĂ©dure pĂ©nale introduction tribunal impartial procĂ©dure pĂ©nale gĂ©olocalisation procĂ©dure pĂ©nale harcĂšlement moral tribunal impartial dĂ©finition procĂ©dure pĂ©nale jonction procĂ©dure pĂ©nale judiciaire tribunal impartial et indĂ©pendant tribunal indĂ©pendant et impartial procĂ©dure pĂ©nale gage de la paix sociale procĂ©dure pĂ©nale garde Ă  vue tribunal indĂ©pendant et impartial dĂ©finition procĂ©dure pĂ©nale France procĂ©dure pĂ©nale France schĂ©ma tribunal IndĂ©pendant si impartial ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure quels sont les principes fondamentaux de la justice qu’est-ce que le tribunal correctionnel qu’est-ce qu’un dĂ©lai raisonnable qu’est-ce qu’un tribunal correctionnel qui siĂšge au tribunal de police procĂ©dure pĂ©nale nullitĂ© procĂ©dure pĂ©nale objectif saisir le tribunal de police procĂ©dure pĂ©nale opj procĂ©dure pĂ©nale opposition respect des droits de la dĂ©fense en droit administratif rupture Ă©galitĂ© des armes procĂ©dure pĂ©nale ordinaire procĂ©dure pĂ©nale ordre judiciaire r 92 code de procĂ©dure pĂ©nale recours dans un dĂ©lai raisonnable procĂ©dure pĂ©nale ou civile procĂ©dure pĂ©nale partie civile r 91 code de procĂ©dure pĂ©nale rĂ©forme procĂ©dure pĂ©nale 2019 procĂ©dure pĂ©nale plainte procĂ©dure pĂ©nale procureur de la rĂ©publique r 165 code de procĂ©dure pĂ©nale r 79 code de procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale question procĂ©dure pĂ©nale question prioritaire r 122 code de procĂ©dure pĂ©nale r 147 code de procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale reforme ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure procĂ©dure pĂ©nale rĂ©sumĂ© secret mĂ©dical et droit de la dĂ©fense sous un dĂ©lai raisonnable procĂ©dure pĂ©nale sans avocat procĂ©dure pĂ©nale schĂ©ma travailler pour la dĂ©fense des droits de l’homme procĂ©dure pĂ©nale serge Guinchard procĂ©dure pĂ©nale signature Ă©lectronique sanction du non-respect des droits de la dĂ©fense procĂ©dure pĂ©nale simplifiĂ©e procĂ©dure pĂ©nale SNCF schĂ©ma chronologique du dĂ©roulement de la procĂ©dure pĂ©nale procĂ©dure pĂ©nale spĂ©ciale procĂ©dure pĂ©nale terrorisme un procĂšs pĂ©nal un procĂšs pĂ©nal dĂ©finition procĂ©dure pĂ©nale travail dissimulĂ© procĂ©dure pĂ©nale tribunal correctionnel un dĂ©lai de prĂ©avis raisonnable un dĂ©lai raisonnable dĂ©finition procĂ©dure pĂ©nale tribunal de police procĂ©dure pĂ©nale urbanisme schĂ©ma procĂ©dure pĂ©nale schĂ©ma procĂšs pĂ©nal procĂ©dure pĂ©nale victime procĂ©dure pĂ©nale vidĂ©o schĂ©ma tribunal correctionnel sĂ©ance tribunal correctionnel procĂ©dure pĂ©nale voies de recours procĂ©dure pĂ©nale vol ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure schĂ©ma de la procĂ©dure pĂ©nale schĂ©ma du procĂšs pĂ©nal procĂ©dure pĂ©nale WikipĂ©dia procĂ©dure policiĂšre un procĂ©dure pĂ©nale un tribunal impartial procĂ©dure procĂšs pĂ©nal procĂ©dure tribunal de police r 155 code procĂ©dure pĂ©nale r 156 code procĂ©dure pĂ©nale process instruction catĂ©gories process instruction information processus pĂ©nal programme cour d’assises prud’homme cour d’appel dĂ©roulement procĂ©dure que gĂšre le tribunal de police que signifie droits de la dĂ©fense quels sont les droits de la dĂ©fense schĂ©ma cour d’appel sur quels principes fondamentaux la justice s’appuie t elle terrorisme et droits de la dĂ©fense tous les droits de la dĂ©fense tout savoir sur la procĂ©dure pĂ©nale une atteinte aux droits de la dĂ©fense valeur juridique des droits de la dĂ©fense vĂ©ritĂ© dans le procĂšs pĂ©nal Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, Ă  cause de cela, Ă  cause de, ainsi, Ă  nouveau, Ă  partir de lĂ , Ainsi, Alors que, Alors, AprĂšs cela, AprĂšs que, Aussi, bien que, car, Cependant, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure c’est ainsi que, c’est pour cela que, par ailleurs, c’est pourquoi, ConsidĂ©rons, Contraste, D’autant plus, d’aprĂšs, de ce fait, de façon, maniĂšre que, De la mĂȘme maniĂšre, De mĂȘme, enfin, de nouveau de plus, en dernier lieu, De plus, de sorte que, deuxiĂšmement, Donc, en ce qui concerne, En conclusion, par ailleurs, En consĂ©quence, En dernier lieu, dommage encore, En fait, puis, En outre, finalement, en particulier, En premier lieu, finalement, En revanche, En somme, encore une fois, Enfin, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure ensuite, Ă©tant donnĂ© que, Finalement, grĂące Ă , il est question de, de mĂȘme, Il s’agit de, il y a aussi, Mais, MalgrĂ© cela, MalgrĂ© tout, NĂ©anmoins, Outre cela, Par ailleurs , Par consĂ©quent, et aussi, Par contre, par exemple, Ă©videmment, Par la suite, par rapport Ă , parce que, plus prĂ©cisĂ©ment, plus tard, Pour commencer, Pour conclure, Pourtant, PremiĂšrement, Prenons le cas de, Puis, puisque, Qui plus est, Selon, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Suivant, Tandis que, touchant Ă , Tout d’abord, Toutefois, troisiĂšmement et ensuite, Une fois de plus, et puis, et aussi, victime dans le procĂšs pĂ©nal du cabinet Aci assurera efficacement votre dĂ©fense. Il vous appartient de prendre l’initiative en l’appelant au tĂ©lĂ©phone ou bien en envoyant un mail. Quelle que soit votre situation auteur, co-auteur, complice, receleur ou victime d’infractions, nos avocats vous accompagnent et assurent votre dĂ©fense durant la phase d’enquĂȘte garde Ă  vue ; d’instruction juge d’instruction, chambre de l’instruction ; devant la chambre de jugement et enfin, pendant la phase judiciaire aprĂšs le procĂšs, auprĂšs de l’administration pĂ©nitentiaire par exemple. V. — Les domaines d’intervention du cabinet Aci ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Cabinet d’avocats pĂ©nalistes parisiens D’abord, Adresse 55, rue de Turbigo 75003 PARIS Puis, TĂ©l Ensuite, Fax Engagement, E-mail contact Enfin, CatĂ©gories PremiĂšrement, LE CABINET En premier lieu, RĂŽle de l’avocat pĂ©naliste ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure En somme, Droit pĂ©nal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Tout d’abord, pĂ©nal gĂ©nĂ©ral ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure AprĂšs cela, Droit pĂ©nal spĂ©cial les infractions du code pĂ©nal Puis, pĂ©nal des affaires ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Aussi, Droit pĂ©nal fiscal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’urbanisme ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure De mĂȘme, Le droit pĂ©nal douanier ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure En outre, Droit pĂ©nal de la presse ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Et ensuite, ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure pĂ©nal des nuisances ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Donc, pĂ©nal routier infractions ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Outre cela, Droit pĂ©nal du travail ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure MalgrĂ© tout, Droit pĂ©nal de l’environnement ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Cependant, pĂ©nal de la famille ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure En outre, Droit pĂ©nal des mineurs ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Ainsi, Droit pĂ©nal de l’informatique ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure En fait, pĂ©nal international ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Tandis que, Droit pĂ©nal des sociĂ©tĂ©s ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure NĂ©anmoins, Le droit pĂ©nal de la consommation ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Toutefois, Lexique de droit pĂ©nal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Alors, Principales infractions en droit pĂ©nal ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Puis, ProcĂ©dure pĂ©nale ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Pourtant, Notions de criminologie ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure En revanche, DÉFENSE PÉNALE ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Aussi, AUTRES DOMAINES ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure Enfin, CONTACT. ProcĂšs pĂ©nal principes et procĂ©dure
Codecivil (CC) -Articles 371, 371-1, 372, 373-2-1 et 373-5 et 390, relatifs Ă  l’autoritĂ© parentale. Ö . Code de la sĂ©curitĂ© sociale. -Articles D.132-1 Ă  D.132-5 . 2. L’ñge de la majoritĂ© . 2.1. L'Ăąge de la majoritĂ© en France . L'Ăąge de la majoritĂ© en France a Ă©tĂ© fixĂ© Ă  18 ans par la loi du 5 juillet 1974. 2.2 Les exceptions . Emancipation par le mariage . Depuis la loi du
1Traditionnellement, la relation mĂ©decin/patient s’est construite sur un modĂšle paternaliste ». Le mĂ©decin prenait les dĂ©cisions pour le patient, en respectant simplement le principe de non malfaisance ne pas nuire, prĂ©venir ou supprimer le mal ou la souffrance, et le principe de bienfaisance, promouvoir le bien. Le Serment d’Hippocrate d’origine reprenait cette idĂ©e de ne pas nuire en latin primum non nocere. 2Dans cette relation, le patient Ă©tait perçu comme une personne incapable de dĂ©cider pour elle-mĂȘme et le mĂ©decin se positionnait comme Ă©tant celui qui dĂ©tenait le savoir. Tout ce que le patient pouvait faire, Ă©tait d’acquiescer au modĂšle thĂ©rapeutique du mĂ©decin et sa libertĂ© se limitait Ă  pouvoir changer de mĂ©decin. 3Avec la loi du 4 mars 2002 dite loi Kouchner », relative aux droits des malades et Ă  la qualitĂ© du systĂšme de santĂ©, la relation entre le mĂ©decin et son patient s’est modifiĂ©e. Toute une sĂ©rie de textes juridiques affirme le droit du patient mineur Ă  dĂ©cider de sa santĂ©, du moins Ă  ce que son avis soit pris en considĂ©ration, dĂšs que son Ăąge et sa maturitĂ© le permettent. 4Ce texte s’appuie sur un rappel du cadre juridique relatif au droit du patient, et en particulier du patient mineur, ainsi que sur une enquĂȘte ayant pour finalitĂ© d’examiner l’effectivitĂ© de la prise en compte de l’avis du patient de l’enquĂȘte5Nous nous appuyons Ă  la fois sur une enquĂȘte quantitative et qualitative menĂ©e dans le cadre du Centre de recherche Sens, Ethique et SociĂ©tĂ© » CERSES/ UniversitĂ© Paris Descartes/CNRS/UMR 8137 et de l’Institut Droit et SantĂ© de l’UniversitĂ© Paris Descartes. 6Sur 1000 questionnaires adressĂ©s Ă  des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, des mĂ©decins spĂ©cialistes, des chirurgiens et 5500 questionnaires envoyĂ©s par le biais du Syndicat des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes de France Ă  des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, 397 rĂ©ponses ont Ă©tĂ© obtenues 80,35 % concernent des mĂ©decins gĂ©nĂ©ralistes, 14,86 % des mĂ©decins spĂ©cialistes pĂ©diatres, pĂ©dopsychiatres, gynĂ©cologues principalement et 2,77 % des chirurgiens. 7Nous avons ensuite analysĂ© des cas cliniques pour Ă©tayer nos progressive reconnaissance de la responsabilitĂ© du mĂ©decinDes mĂ©decins longtemps considĂ©rĂ©s comme non responsables juridiquementLe droit français a eu des difficultĂ©s Ă  saisir ce savoir scientifique, fondement d’un pouvoir mĂ©dical longtemps impĂ©nĂ©trable. Selon les termes d’un avis de l’AcadĂ©mie de mĂ©decine du 15 fĂ©vrier 1834, le mĂ©decin ne connaĂźt pour juge que Dieu, que ses pairs et n’accepte point d’autres responsabilitĂ©s que celle, toute morale, de la conscience » [1].Certains auteurs rappellent l’affirmation du Procureur gĂ©nĂ©ral Dupin, qui, le 18 juin 1835, Ă  propos de la responsabilitĂ© mĂ©dicale, Ă©nonçait que ce sont lĂ  des questions scientifiques Ă  dĂ©battre entre docteurs, qui ne peuvent constituer des cas de responsabilitĂ© civile et tomber sous l’examen des tribunaux [2] ».La reconnaissance de la responsabilitĂ© du mĂ©decin par les tribunauxLa jurisprudence de la premiĂšre moitiĂ© du XIXĂšme siĂšcle envisage la responsabilitĂ© dans la relation mĂ©decin/patient uniquement du cĂŽtĂ© du patient, notamment autour de la question de la rĂ©munĂ©ration [3].L’arrĂȘt Mercier de 1936 [4] affirme que le principe, selon lequel toute personne qui cause un dommage Ă  autrui est dans l’obligation de le rĂ©parer », s’applique Ă©galement aux arrĂȘt marque le passage d’une responsabilitĂ© dĂ©lictuelle Ă  une responsabilitĂ© contractuelle et signe la place dĂ©sormais accordĂ©e Ă  la volontĂ© du patient il se forme entre le mĂ©decin et son client un vĂ©ritable contrat ».Une obligation de moyen et non de rĂ©sultat au patient de prouver la l’obligation qui pĂšse sur le mĂ©decin n’est pas une obligation de rĂ©sultat, c’est-Ă -dire n’impose pas la guĂ©rison, mais simplement une obligation de moyen, c’est-Ă -dire que le soignant agisse selon les rĂšgles de l’art, conformĂ©ment aux donnĂ©es acquises de la science » [5].Cette obligation de moyen implique que le patient, qui estime que le mĂ©decin a commis un acte fautif, en fasse la preuve. La situation mĂ©dicale Ă©tant si complexe, il sera souvent trĂšs difficile pour le patient d’apporter la preuve d’une non-conformitĂ© avec les donnĂ©es acquises de la science ».1 – Le consentement libre et Ă©clairĂ© du patient mineur Ă  l’acte mĂ©dical8En rĂ©action aux expĂ©rimentations cliniques menĂ©es pendant la Seconde Guerre mondiale, la notion de consentement volontaire du patient a Ă©tĂ© posĂ©e, notamment Ă  l’instar du Code de Nuremberg en 1947 [6]. 9Si le contrat mĂ©dical est Ă  la base du droit mĂ©dical, l’exigence du consentement du patient Ă  tel ou tel acte ou traitement mĂ©dical postĂ©rieur au diagnostic s’est ajoutĂ© Ă  sa volontĂ© prĂ©alable de se faire soigner, indispensable Ă  la formation du contrat, qui se manifeste par le choix du mĂ©decin [7]. 10La question a Ă©tĂ© posĂ©e de savoir si le consentement Ă  l’acte mĂ©dical ou Ă  l’intervention chirurgicale devait ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un Ă©lĂ©ment de la formation du contrat, autre que celui du contrat initial visant la rĂ©munĂ©ration du mĂ©decin en contrepartie d’un diagnostic. 11La jurisprudence s’est dĂ©tournĂ©e de l’idĂ©e que la relation mĂ©dicale serait formĂ©e, outre le contrat initial, d’une succession de conventions distinctes. Le consentement serait un Ă©lĂ©ment d’exĂ©cution du contrat initial avec toutefois l’obligation du mĂ©decin d’obtenir l’accord du patient Ă  l’acte mĂ©dical ou Ă  l’intervention chirurgicale [8]. 12En 1951, la juridiction suprĂȘme a retenu l’obligation pour le praticien avant toute opĂ©ration chirurgicale d’obtenir au prĂ©alable le consentement du patient [9]. 13En 1996 [10], le Serment d’Hippocrate rĂ©actualisĂ© mentionne le respect de la volontĂ© du patient. 14De mĂȘme, selon la Charte du patient hospitalisĂ© de 2006 un acte mĂ©dical ne peut ĂȘtre pratiquĂ© qu’avec le consentement libre et Ă©clairĂ© du patient » [11].Les conditions de recueil du consentement15La notion de consentement Ă©clairĂ© est un processus qui implique que le mĂ©decin informe clairement le patient de tous les risques d’une conduite thĂ©rapeutique et, inversement, que le patient puisse s’exprimer sur son Ă©tat de santĂ©. 16La notion de consentement libre et Ă©clairĂ© » n’implique pas seulement la personne qui consent, elle concerne aussi le mĂ©decin, qui recueille le consentement en ce qu’il doit crĂ©er les conditions nĂ©cessaires et indispensables pour que celui-ci prĂ©sente de telles caractĂ©ristiques. 17La Convention sur les droits de l’Homme et de la biomĂ©decine dite Convention d’Oviedo », adoptĂ©e par le Conseil de l’Europe en 1996, Ă©nonce, Ă  propos du consentement aux actes mĂ©dicaux art. 6, que l’avis du mineur [doit ĂȘtre] pris en considĂ©ration comme un facteur de plus en plus dĂ©terminant, en fonction de son Ăąge et de son degrĂ© de maturitĂ© ».Le consentement du patient mineur en droit français18La loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et Ă  la qualitĂ© du systĂšme de santĂ© prĂ©cise que le mineur participe Ă  la dĂ©cision mĂ©dicale en fonction de son degrĂ© de maturitĂ©. Selon l’article L 1111-4 du Code de la santĂ© publique, le consentement du mineur [
] doit ĂȘtre systĂ©matiquement recherchĂ© s’il est apte Ă  exprimer sa volontĂ© et Ă  participer Ă  la dĂ©cision.. Dans le cas oĂč le refus d’un traitement par la personne titulaire de l’autoritĂ© parentale ou par le tuteur risque d’entraĂźner des consĂ©quences graves pour la santĂ© du mineur ou du majeur sous tutelle, le mĂ©decin dĂ©livre les soins indispensables. ». La loi n° 2002-305 du 4 mars 2002 relative Ă  l’autoritĂ© parentale, dans la mĂȘme cohĂ©rence, rappelle que les parents doivent associer l’enfant » aux dĂ©cisions qui le concernent selon son Ăąge et son degrĂ© de maturitĂ© » article 371-1 Code civil. Ainsi, les titulaires de l’autoritĂ© parentale doivent protĂ©ger l’enfant dans sa santĂ©, et dĂ©sormais ces derniers associent l’enfant aux dĂ©cisions [notamment mĂ©dicales] qui le concernent ». 19Comme nous l’avons vu, l’idĂ©e d’établir une relation plus Ă©quilibrĂ©e entre le mĂ©decin et le patient mineur, afin de lui permettre d’exprimer sa volontĂ© tout au long du processus de soin, entre Ă©galement dans le Code de la santĂ© publique. Les articles L. 1111-1 Ă  L. 1111-7 nouveaux de ce code, se fondant sur l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant, modifient la relation entre le mĂ©decin et le patient mineur, en rĂ©duisant partiellement la place autrefois accordĂ©e au titulaire de l’autoritĂ© parentale et en garantissant au mineur de nouveaux droits, notamment le droit au respect de sa volontĂ© droit au consentement ou au refus de soins, le droit Ă  l’information et le droit au secret mĂ©dical [12]. 20Le mineur malade, selon son Ăąge et son degrĂ© de maturitĂ©, est ainsi mis en situation de responsable et devient acteur de sa santĂ©. 21La mĂ©decine doit subordonner l’opĂ©rativitĂ© de son action au consentement du mineur malade et de cela doit dĂ©couler la condition de l’effectivitĂ© du soin ou du Code de dĂ©ontologie mĂ©dicale22L’article 42 du Code de dĂ©ontologie mĂ©dicale Ă  prĂ©sent intĂ©grĂ© dans le Code de la santĂ© Publique - CSP - aux articles Ă  dispose que si l’avis du patient mineur peut ĂȘtre recueilli, le mĂ©decin doit en tenir compte dans la mesure du possible », disposition qui est reprise par le manuel d’accrĂ©ditation de l’Agence nationale d’accrĂ©ditation et d’évaluation en santĂ© aujourd’hui intĂ©grĂ©e au sein de la Haute autoritĂ© de santĂ© en ces termes Le patient mineur donne son avis, dont il est tenu compte dans toute la mesure du possible » [13].La volontĂ© du patient mineur et l’autoritĂ© parentale23La question se pose de savoir si ce droit au respect de la volontĂ© du patient mineur est un droit propre qui lui est confĂ©rĂ©, indĂ©pendamment des prĂ©rogatives reconnues par la loi aux titulaires de l’autoritĂ© parentale. 24Pour certains commentateurs doctrinaux [14], le patient mineur doit seulement ĂȘtre associĂ© Ă  la prise de dĂ©cision et ne dispose pas d’un droit autonome. Il n’y a pas de caractĂšre obligatoire Ă  prendre en compte sa volontĂ© ; tout dĂ©pend de son degrĂ© de discernement. 25Mais cette position va Ă  l’encontre de la Convention internationale relative aux droits de l’enfant du 20 novembre 1989 entrĂ©e en vigueur en France le 7 aoĂ»t 1990, qui affirme que l’enfant a une autonomie. Si la Cour de cassation a refusĂ© dans un premier temps que soit faite une application directe de cette convention, il n’en est plus de mĂȘme depuis deux arrĂȘts du 18 mai 2005 [15].Le critĂšre du discernement ou l’attĂ©nuation de l’incapacitĂ© juridique du mineur26Les juges font une distinction entre l’enfant qui sait ce qu’il fait et celui qui ne le sait pas ». Le premier dispose d’une capacitĂ© juridique relative apprĂ©ciĂ©e en fonction de l’acte juridique qu’il a effectuĂ©. Le second, du fait d’une volontĂ© limitĂ©e, est atteint d’une incapacitĂ© d’exercice qui a vocation Ă  ĂȘtre totale. 27La notion de discernement est ainsi une question de fait, relative et subjective, apprĂ©ciable au cas par cas, en lien avec la facultĂ© d’agir raisonnablement et la volontĂ©. 28La question se pose uniquement pour les mineurs non Ă©mancipĂ©s, puisque l’émancipation possible Ă  partir de 16 ans confĂšre Ă  l’enfant la capacitĂ© juridique. Le droit commun pose en effet une prĂ©somption d’incapacitĂ© juridique jusqu’à l’ñge de 18 ans. 29Le dĂ©faut d’autonomie postulĂ© par le droit est toutefois relatif plus l’enfant avance en Ăąge, plus il acquiert une certaine autonomie. Cette prĂ©somption d’autonomie doit avoir pour finalitĂ© l’intĂ©rĂȘt de l’ critĂšre du discernement en droit de la santĂ©30En droit de la santĂ©, le malade est considĂ©rĂ© comme autonome, sauf Ă  constater une inaptitude profonde Ă  l’expression de sa volontĂ©. Le lĂ©gislateur pose souvent, et Ă  juste titre, une prĂ©somption d’ignorance du patient plus qu’une prĂ©somption d’incapacitĂ©. Le Conseil national de l’Ordre des mĂ©decins prĂ©cise que lorsqu’il s’agit d’un adolescent, le mĂ©decin doit s’efforcer d’obtenir son adhĂ©sion personnelle » [16].2 – Le droit du patient mineur Ă  ĂȘtre informĂ© sur sa santĂ©Obligation juridique31L’article du CSP indique que toute personne a le droit d’ĂȘtre informĂ©e sur son Ă©tat de santĂ© ». 32L’information porte sur les diffĂ©rentes investigations, traitements ou actions de prĂ©vention qui sont proposĂ©s, leur utilitĂ©, leur urgence Ă©ventuelle, leurs consĂ©quences, les risques frĂ©quents ou graves normalement prĂ©visibles qu’ils comportent, ainsi que sur les autres solutions possibles et sur les consĂ©quences prĂ©visibles en cas de Ă©thique33L’information du patient n’est pas seulement la mise en Ɠuvre d’une obligation juridique, elle est un devoir Ă©thique du mĂ©decin. L’article 35 du Code de dĂ©ontologie dispose que le mĂ©decin doit Ă  la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille une information loyale, claire, et appropriĂ©e sur son Ă©tat, les investigations et les soins qu’il lui propose ». 34Elle fait partie du soin lui-mĂȘme, qui ne peut se rĂ©duire Ă  la mise en Ɠuvre de techniques. 35Cette information a pour objet de rĂ©pondre aux interrogations lĂ©gitimes du patient mineur, et de rĂ©unir les arguments qui lui permettront de formuler un consentement libre et de l’obligation l’autonomie du patient et la bienveillance36Le devoir d’information repose sur le principe d’autonomie, mais aussi sur celui de bienveillance. Le mĂ©decin doit s’adresser au patient mineur en le considĂ©rant comme sujet de sa maladie. Le principe de bienveillance commande au mĂ©decin de considĂ©rer en premier l’intĂ©rĂȘt du patient. 37Selon cet article 35, le mĂ©decin tient compte de la personnalitĂ© du patient dans ses explications et veille Ă  leur comprĂ©hension ».Informer en tenant compte de l’ñge, de la maturitĂ© et de la pathologie38Selon notre enquĂȘte, l’ñge et la gravitĂ© de la pathologie peuvent ainsi dĂ©terminer la maniĂšre d’informer l’enfant mineur sur son Ă©tat de santĂ©. 39L’information sera d’autant plus difficile que la pathologie est grave ou complexe diĂ©tĂ©tique, obĂ©sitĂ©, anxiĂ©tĂ©, dĂ©pression, risque suicidaire et que le malade est jeune, avec plus ou moins de capacitĂ© de discernement. 40Il importe de garder Ă  l’esprit que l’intĂ©rĂȘt supĂ©rieur de l’enfant doit ĂȘtre au cƓur de la relation entre le mĂ©decin et le patient mineur, et que tout s’ordonne autour de la vulnĂ©rabilitĂ© de ce patient. 41La discussion avec le mineur malade Ă  propos de sa maladie peut ĂȘtre dĂ©licate. La clinique mĂ©dicale qui se dĂ©ploie auprĂšs du mineur malade expĂ©rimente quotidiennement que tout ce qui est dit, tout ce qui est entendu autrement, constitue le socle de la relation de soin. 42La maladie peut d’ailleurs entraĂźner une surcharge Ă©motionnelle, un traumatisme, une souffrance psychique pour le patient mineur. Le mĂ©decin, dans son apprĂ©ciation de la situation particuliĂšre du patient mineur, doit tenir compte de la structuration psychique et psychologique du mineur malade ainsi que de son degrĂ© de dĂ©pendance. 43L’information doit permettre d’éclaircir certaines incertitudes. Comme Ă©noncĂ© ci-dessus, l’article 35 du Code dĂ©ontologie mĂ©dicale dispose que le mĂ©decin doit Ă  la personne qu’il examine, qu’il soigne ou qu’il conseille une information loyale, claire, et appropriĂ© » sur son Ă©tat, les investigations et les soins qu’il lui le langage mĂ©dical44L’analyse des cas cliniques montre que souvent le mĂ©decin doit traduire le langage mĂ©dical pour le mineur malade. Pour cela, il peut faire appel Ă  des outils de communication divers, mieux adaptĂ©s aux capacitĂ©s de comprĂ©hension du mineur en s’appuyer sur un rĂ©seau de tiers45Dans l’intĂ©rĂȘt du mineur malade, et lorsque le mĂ©decin rencontre des difficultĂ©s pour informer, celui-ci peut ĂȘtre conduit Ă  coordonner les soins en faisant appel Ă  des tiers psychologue, infirmiĂšre, service du planning familial. 46Dans des cas particuliers, l’information peut en effet ĂȘtre difficile Ă  transmettre et demande Ă  ĂȘtre prĂ©sentĂ©e par une personne tierce qui a une compĂ©tence spĂ©cifique pour rĂ©pondre Ă  une demande prĂ©cise du mineur malade. 47Il faut souligner que les mĂ©decins peuvent rencontrer, dans leurs consultations, des difficultĂ©s Ă  Ă©tablir le diagnostic clinique et le pronostic de la santĂ© d’un patient et, par voie de consĂ©quence, ĂȘtre mal Ă  l’aise pour donner l’ une relation de proximitĂ© et de confiance48La relation de proximitĂ© et de confiance entre le mĂ©decin et le patient mineur sera dĂ©terminante pour contribuer Ă  la mise en place de bonnes pratiques. 49La connaissance de ce que ressent le patient mineur, de ses besoins et de ses attentes est nĂ©cessaire pour Ă©tablir le pronostic de la maladie, faciliter le choix, par le mĂ©decin, du projet thĂ©rapeutique qui paraĂźt le mieux adaptĂ© Ă  la pathologie, et pour obtenir ensuite l’acceptation du diagnostic et du traitement, par le patient mineur. 50Mais cette relation de confiance avec le patient mineur n’est jamais acquise d’emblĂ©e. Elle s’instaure petit Ă  petit. 51Les patients mineurs les plus ĂągĂ©s et ayant acquis une certaine maturitĂ© attendent de leur mĂ©decin un avis, mais aussi que celui-ci partage avec eux le poids des dĂ©cisions qu’ils peuvent ĂȘtre amenĂ©s Ă  prendre concernant leur santĂ©. 52Dans bien des cas, ils ne veulent pas d’une rencontre trop protocolaire, mais que le mĂ©decin engage sa parole, et aussi parfois son Ă©motion. 53Cela comporte toutefois le risque que celui-ci se laisse abuser par une empathie excessive et qu’il perde de vue la rĂ©alitĂ© objective d’une pathologie et par ricochet sa capacitĂ© Ă  l’obligation d’informer54Toutefois, selon l’article du CSP qui correspond Ă  l’article 35 du Code de dĂ©ontologie mĂ©dicale, dans l’intĂ©rĂȘt du malade et pour des raisons lĂ©gitimes que le praticien apprĂ©cie en conscience, un malade peut ĂȘtre tenu dans l’ignorance d’un diagnostic ou d’un pronostic graves, sauf dans les cas oĂč l’affection dont il est atteint expose les tiers Ă  un risque de contamination ».3 – Le refus de l’acte mĂ©dical par le patient mineur55Selon le Code de dĂ©ontologie mĂ©dicale, le mĂ©decin doit recueillir le consentement du mineur dans toute la mesure du possible ». 56Les conditions d’un consentement libre et Ă©clairĂ© telles que posĂ©es par les textes lĂ©gaux impliquent que le patient mineur, selon son Ăąge et son degrĂ© de maturitĂ©, ait la possibilitĂ© d’accepter ou de refuser l’acte mĂ©dical. 57Principe rĂ©itĂ©rer l’information face au refus exprimĂ© par le patient 58Si le patient mineur, en Ă©tat d’exprimer sa volontĂ©, refuse ce qui lui est proposĂ©, le mĂ©decin ne doit pas se satisfaire d’un seul refus. Il doit s’efforcer de le convaincre en lui apportant Ă  nouveau toutes les prĂ©cisions nĂ©cessaires et en s’assurant que les informations sont correctement comprises. 59En cas de refus rĂ©itĂ©rĂ© du patient, le mĂ©decin pourra cesser la prise en charge mĂ©dicale, Ă  condition de faire assurer la continuitĂ© des soins par un autre mĂ©decin. 60Le recueil spĂ©cifique du consentement du patient mineur est obligatoire dans deux cas l’interruption volontaire de grossesse art. L. 2212-7 du Code de la santĂ© publiqueet le prĂ©lĂšvement de moelle osseuse au bĂ©nĂ©fice d’un frĂšre ou d’une sƓur art. L. 1241-3 du Code de la santĂ© publique.Dans ces deux situations, le refus fait obstacle Ă  l’ l’acceptation apparente de l’acception rĂ©elle du diagnostic et du traitement61Les cas cliniques ont mis en Ă©vidence que, si le mineur malade accepte le diagnostic, cela ne veut pas dire qu’il l’accepte dans sa tĂȘte ». De mĂȘme, si celui-ci accepte le diagnostic, ce n’est pas pour autant qu’il acceptera le traitement. 62Le degrĂ© d’acceptation de l’acte mĂ©dical par le mineur dĂ©pend souvent de la pathologie soignĂ©e. 63Dans les cas d’obĂ©sitĂ©, d’addictions, de diabĂšte, de pathologie lourde, le mineur a souvent besoin d’un temps de cheminement pour accepter le diagnostic posĂ©. La maturitĂ© psychologique du mineur malade conditionne fortement le degrĂ© d’acceptation du diagnostic. 64Les soins douloureux, difficiles, contraignants et rĂ©pĂ©titifs peuvent conduire Ă  un refus du soin par le patient et par ricochet du diagnostic posĂ©. Dans les cas de maladie grave, le refus du diagnostic peut aller jusqu’au dĂ©ni. 65Toutefois, les mineurs malades acceptent d’autant mieux le diagnostic et les traitements proposĂ©s qu’ils sont dans une relation de confiance. Notons sur ce point que la confiance qui est accordĂ©e a souvent comme fondement premier la rĂ©putation du mĂ©decin et les liens qui se sont nouĂ©s au fil des le risque vital66Toutefois, le mĂ©decin peut passer outre le refus du consentement, lorsque le patient mineur prĂ©sente un risque vital ; par exemple, lorsqu’il atteint une phase ultime d’une grĂšve de la faim, ou adopte une conduite – Le recueil du consentement des titulaires de l’autoritĂ© parentaleL’autoritĂ© parentale67Selon l’article 371-1 du Code civil, les pĂšre et mĂšre, dĂ©tenteurs de l’autoritĂ© parentale, sont les reprĂ©sentants lĂ©gaux de leur enfant. En principe, ils exercent en commun cette autoritĂ© parentale, et chacun des deux Ă©poux est prĂ©sumĂ© agir avec le consentement de l’autre pour les actes usuels de l’autoritĂ© parentale article 372-2 du Code civil [17]. 68La sĂ©paration des parents est sans incidence sur les rĂšgles de l’exercice de l’autoritĂ© parentale. AprĂšs divorce, l’autoritĂ© parentale est donc toujours exercĂ©e conjointement par les deux parents. 69Ce n’est qu’à titre exceptionnel et si l’intĂ©rĂȘt de l’enfant l’exige que le juge confie l’autoritĂ© parentale Ă  un seul parent article 373-2-1 du Code civil. Ainsi, il appartient aux parents de protĂ©ger et d’éduquer leur enfant, et ce, tant que le juge ne les a pas dĂ©clarĂ©s principe recueillir l’avis des deux parents70Lorsque les parents dĂ©couvrent que leur enfant est malade, ils doivent lui apporter les soins dont il a besoin, afin qu’il puisse se dĂ©velopper au mieux de ses possibilitĂ©s. 71Selon l’article R4127-42 du Code de la santĂ© publique qui correspond Ă  l’article 42 du Code de dĂ©ontologie mĂ©dicale, le mĂ©decin qui donne des soins Ă  un patient mineur doit alors recueillir le consentement des titulaires de l’autoritĂ© parentale, aprĂšs les avoir informĂ©s sur la maladie, les actes et traitements proposĂ©s, les alternatives thĂ©rapeutiques, et les consĂ©quences d’une abstention ou d’un refus du le consentement d’un des deux parents suffit72Toutefois, il est admis que pour les actes mĂ©dicaux bĂ©nins, le consentement d’un seul des parents suffit. Pour les actes mĂ©dicaux et chirurgicaux lourds », le consentement des deux parents est mĂ©decin face Ă  l’opposition des parents73Le mĂ©decin se heurte parfois aux parents du patient mineur qui refusent le diagnostic posĂ© et remettent en cause la thĂ©rapeutique proposĂ©e par le soignant. Si les parents refusent l’acte mĂ©dical, le mĂ©decin doit s’efforcer de les convaincre, Ă©ventuellement proposer un autre avis les raisons du refus des parents74L’analyse des cas cliniques montre que, dans cette relation triangulaire, le consentement, donnĂ© au diagnostic, au pronostic et au traitement dĂ©finis par le mĂ©decin, ne met pas seulement en Ɠuvre les facultĂ©s cognitives et le jugement rationnel de chacun des acteurs en prĂ©sence, mais implique aussi une part de subjectivitĂ© de ces personnes impliquĂ©es dans la relation de soin. 75Lorsque le mĂ©decin annonce le diagnostic d’une maladie, qui s’accompagne, dans les minutes qui suivent, d’explications sur la maladie et le traitement, les parents peuvent vivre un moment difficile, qui souvent les empĂȘche de saisir la plupart des informations qui leur sont donnĂ©es sur la santĂ© de leur enfant. 76Lorsque l’on Ă©voque avec la famille ce premier contact de leur enfant avec la maladie, c’est souvent un sentiment de dĂ©sarroi et une impossibilitĂ© d’accepter, en connaissance de cause, le traitement donnĂ©. 77Cela met en Ă©vidence que poser un diagnostic et l’annoncer n’est pas toujours souhaitable Ă  n’importe quel moment du processus de le refus des parents78Le mĂ©decin se heurte parfois Ă  des parents qui vont aller chercher de plus en plus d’informations sur la maladie de leur enfant mineur, avec le souhait de trouver des solutions assurant la qualitĂ© de soin de leur enfant et remettant en cause la thĂ©rapeutique proposĂ© par le soignant. 79Or l’acceptation du mineur dĂ©pend souvent des rapports humains affectifs et du comportement plus ou moins anxieux de ses parents. 80Si les parents refusent l’acte mĂ©dical, le mĂ©decin doit s’efforcer de les convaincre, Ă©ventuellement proposer un autre avis les divergences entre les parents et leur enfant81Le mĂ©decin, convaincu de la nĂ©cessitĂ© d’une mesure thĂ©rapeutique ou mĂ©dico-sociale, peut Ă©galement se heurter Ă  la divergence entre l’avis des parents et celui du malade mineur. 82Dans cette hypothĂšse, les mĂ©decins proposent de gĂ©rer la situation de la maniĂšre suivante ils rĂ©itĂšrent les explications en essayant d’ĂȘtre convaincants, et clarifient la nĂ©cessitĂ© des soins. Ils soulignent tous l’importance du dialogue, et Ă©ventuellement de la mĂ©diation. 83Dans ces situations conflictuelles, les mĂ©decins peuvent recevoir sĂ©parĂ©ment, parents et patient mineur. Mais un temps de rĂ©flexion est souvent nĂ©cessaire pour la rĂ©solution du conflit. 84Si le patient mineur fait preuve d’une grande autonomie, son avis peut primer sur celui de ses l’opposition des parents lorsque la vie de leur enfant est en danger85Lorsque la vie du patient mineur est en danger, le mĂ©decin doit tout entreprendre pour tenter d’obtenir, sinon le consentement, du moins la non-opposition » des parents. 86Il peut aussi informer le procureur de la RĂ©publique qui saisira le juge des enfants pour que celui-ci prenne une mesure d’assistance Ă©ducative temporaire, permettant au mĂ©decin de soigner le patient mineur. 87Selon l’article L. 1111-4 du Code de la santĂ© publique et l’article 16-3 du Code civil [18], devant des cas exceptionnels, par exemple, devant une pĂ©ritonite appendiculaire et des parents qui refusent l’intervention, devant une mĂ©ningite et des parents qui refusent la ponction lombaire, le mĂ©decin, Ă  ses risques et pĂ©rils, peut passer outre et intervenir. 88Cette attitude, prise dans l’intĂ©rĂȘt du patient mineur, s’impose au mĂ©decin. Dans ces circonstances graves, le choix que fait le mĂ©decin engage souvent l’avenir individuel et familial du patient mineur, et les dĂ©cisions ne peuvent donc ĂȘtre le fait d’un seul praticien. 89Il s’agit d’une dĂ©cision collĂ©giale rĂ©gie par l’éthique mĂ©dicale et la loi. Il appartient au mĂ©decin de rĂ©diger par Ă©crit un compte rendu prĂ©cisant les donnĂ©es de l’examen mĂ©dical et les conclusions thĂ©rapeutiques qui en dĂ©coulent, relatant les mesures d’information Ă©clairĂ©es et prĂ©cises prises par le praticien, au besoin accompagnĂ© dans sa dĂ©marche par d’autres membres de l’équipe mĂ©dicale, et de l’adresser Ă  son conseil des parents l’obligation d’intervenir en cas d’urgence90Certaines situations d’urgence obligent le mĂ©decin Ă  supplĂ©er et Ă  prendre seul, la dĂ©cision mĂ©dicale. Il en est Ă©galement ainsi, lorsque les parents ne peuvent pas ĂȘtre prĂ©venus en temps utiles et que des soins sont urgents selon l’article R4127-43 du Code de la santĂ© publique, le mĂ©decin peut et doit assumer lui-mĂȘme la responsabilitĂ© de la – Conclusion91Il n’est plus possible qu’un patient mineur qui a une maturitĂ© suffisante puisse ĂȘtre examinĂ© ou soignĂ© unilatĂ©ralement, sans explication, ni prise en compte de son point de vue, en vertu de la seule dĂ©cision mĂ©dicale ou de celle de ses parents, sur avis mĂ©dical. 92En principe, ni l’incapacitĂ© juridique du mineur, Ă©tablie pour le protĂ©ger et l’assister, ni sa vulnĂ©rabilitĂ© du fait de son Ă©tat de santĂ©, ne peuvent justifier de l’écarter des dĂ©cisions mĂ©dicales le concernant. 93Cela rĂ©sulte du fait que le mineur est une personne Ă  part entiĂšre dont la libertĂ© individuelle ne peut connaĂźtre de restrictions que s’il peut ĂȘtre portĂ© prĂ©judice Ă  son intĂ©rĂȘt supĂ©rieur. 94L’exigence du consentement du patient mineur aux soins et son corollaire, le droit au refus du traitement, a ainsi Ă©voluĂ© progressivement vers un modĂšle dĂ©libĂ©ratif ». À la classique obligation contractuelle de soins s’est substituĂ© le droit fondamental Ă  la protection de sa santĂ© ». Notes [*] Directrice de recherche au CNRS, CERSES/UniversitĂ© Paris Descartes/CNRS/UMR 8137. [1] CitĂ© par Vioux et V. Sahuc, Évolution de la notion de responsabilitĂ© mĂ©dicale » R. F. domm. Corp., 1989,, 287. [2] G. MĂ©meteau, La prĂ©sentation du droit mĂ©dical dans la RTDC », RTD civ., SpĂ©c. p. 265 et s. ; du mĂȘme auteur, Le droit mĂ©dical en pĂ©ril, chronique de mĂ©chante humeur », Revue Jur. Centre-Ouest 14/ ; du mĂȘme auteur, MĂ©thode pour une approche du droit mĂ©dical », RD sanit. soc. citĂ© par P. Lokiec, La DĂ©cision mĂ©dicale », RDT civil, [3] Cour de cassation, Req., 21 aoĂ»t 1839, Recueil Sirey, 1926, I, p. 116 ; Dalloz PĂ©riodique, 1927, i, p. 93. [4] Cass. Civ., 20 mai 1936, Cl. P. Matter ; JCP 1936, p. 1079 ; RTD civ., Obs. R. Demogue. [5] Expression dĂ©veloppĂ©e depuis l’arrĂȘt Mercier. [6] L’article 1er dispose qu’ avant que le sujet expĂ©rimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durĂ©e, et le but de l’expĂ©rience, ainsi que sur les mĂ©thodes et moyens employĂ©s, les dangers et les risques encourus et les consĂ©quences pour sa santĂ© ou sa personne, qui peuvent rĂ©sulter de sa participation Ă  cette expĂ©rience. L’obligation et la responsabilitĂ© d’apprĂ©cier les conditions dans lesquelles le sujet donne son consentement incombent Ă  la personne qui prend l’initiative et la direction de ces expĂ©riences ou qui y travaille. Cette obligation et cette responsabilitĂ© s’attachent Ă  cette personne, qui ne peut les transmettre Ă  nulle autre sans ĂȘtre poursuivie ». [7] R. Nerson, Le respect par le mĂ©decin de la volontĂ© du malade », in MĂ©langes Marty, UniversitĂ© des Sciences Sociales de Toulouse, 1978, p. 870 ; A. Garay, P. Goni, La Valeur juridique de l’attestation de refus de transfusion sanguine », Petites Affiches, 13 aoĂ»t 1993, n° 97, p. 15. [8] Cf. G. MĂ©menteau, Cours de droit mĂ©dical, Les Études HospitaliĂšres, 2001, p. 265. L. MĂ©lennec, TraitĂ© de droit mĂ©dical, t. 2 par G. MĂ©menteau et L. MĂ©lennec, Paris, Maloine, 1982, p. 33. [9] Civ. 29 mai 1951, D., note Savatier ; S. note Nerson ; JCP, note Perrot. [10] RĂ©actualisĂ© par le Pr Bernard HƓrni, et publiĂ© dans le Bulletin de l’Ordre des MĂ©decins, n° 4, avril, 1996 Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volontĂ©, sans aucune discrimination selon leur Ă©tat ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protĂ©ger si elles sont affaiblies, vulnĂ©rables ou menacĂ©es dans leur intĂ©gritĂ© ou leur dignitĂ©. [
] J’informerai les patients des dĂ©cisions envisagĂ©es, de leurs raisons et de leurs consĂ©quences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hĂ©ritĂ© des circonstances pour forcer les consciences ». [11] Circulaire n° DHOS/E1/DGS/SD1B/SD1C/SD4A/2006/90 du 2 mars 2006 relative aux droits des personnes hospitalisĂ©es et comportant une charte de la personne hospitalisĂ©e. [12] À cet Ă©gard l’article du Code de la santĂ© publique dispose Par dĂ©rogation Ă  l’article 371-2 du code civil, le mĂ©decin peut se dispenser d’obtenir le consentement du ou des titulaires de l’autoritĂ© parentale sur les dĂ©cisions mĂ©dicales Ă  prendre lorsque le traitement ou l’intervention s’impose pour sauvegarder la santĂ© d’une personne mineure, dans le cas oĂč cette derniĂšre s’oppose expressĂ©ment Ă  la consultation du ou des titulaires de l’autoritĂ© parentale afin de garder le secret sur son Ă©tat de santĂ©. Toutefois, le mĂ©decin doit dans un premier temps s’efforcer d’obtenir le consentement du mineur Ă  cette consultation. Dans le cas oĂč le mineur maintient son opposition, le mĂ©decin peut mettre en Ɠuvre le traitement ou l’intervention. Dans ce cas, le mineur se fait accompagner d’une personne majeure de son personne mineure, dont les liens de famille sont rompus, bĂ©nĂ©ficie Ă  titre personnel du remboursement des prestations en nature de l’assurance maladie et maternitĂ© et de la couverture complĂ©mentaire mise en place par la loi n° 99-641 du 27 juillet 1999 portant crĂ©ation d’une couverture maladie universelle, son seul consentement est requis ». Cette question est abordĂ©e dans l’article de CĂ©cile Roche Dominguez reproduit p. 25. [13] Juin 2003, RĂ©fĂ©rentiel DIP Droits et information du patient », [14] S. Porchy-Simon, fasc. 440-30, J. Cl. ResponsabilitĂ© civile et assurance », §48. [15] Cass. Civ. 1Ăšre, 18 mai 2005, Bull. civ. 1, n° 212, p. 180. [16] Commentaire du Code de dĂ©ontologie mĂ©dicale, [17] À l’égard des tiers de bonne foi, chacun des parents est rĂ©putĂ© agir avec l’accord de l’autre, quand il fait seul un acte usuel de l’autoritĂ© parentale relativement Ă  la personne de l’enfant ». [18] Art. al. 5 CSP 
 Dans le cas oĂč le refus d’un traitement par la personne titulaire de l’autoritĂ© parentale ou par le tuteur risque d’entraĂźner des consĂ©quences graves pour la santĂ© du mineur ou du majeur sous tutelle, le mĂ©decin dĂ©livre les soins indispensables » ; art. 16-3 CC Il ne peut ĂȘtre portĂ© atteinte Ă  l’intĂ©gritĂ© du corps humain qu’en cas de nĂ©cessitĂ© mĂ©dicale pour la personne ou Ă  titre exceptionnel dans l’intĂ©rĂȘt thĂ©rapeutique d’ consentement de l’intĂ©ressĂ© doit ĂȘtre recueilli prĂ©alablement hors le cas oĂč son Ă©tat rend nĂ©cessaire une intervention thĂ©rapeutique Ă  laquelle il n’est pas Ă  mĂȘme de consentir ».

Le nantissement 373-PrivilÚges et hypothÚques 375 QUATRIEME PARTIE : Obligations et contrats 414 I- La théorie générale des obligations 414 II- Des obligations conventionnelles en général (Droit civil français) 449 III-Des contrats spéciaux 452 - Vente (Code civil français) 452 - Echange (Code civil français) 463 - Louage (Théorie générale, Code civil français) 463 -

Dans une dĂ©cision rendue le 1 mai dernier, la Cour de Cassation a rappelĂ© que le juge qui ordonne que le droit de visite d’un parent s’exercera dans un espace de rencontre doit prĂ©ciser la pĂ©riodicitĂ© et la durĂ©e des rencontres. L’article 1180-5 du code de procĂ©dure civile prĂ©voit que lorsque le juge dĂ©cide que le droit de visite ou la remise de l’enfant s’exercera dans un espace de rencontre qu’il dĂ©signe en application des articles 373-2-1 ou 373-2-9 du code civil, il fixe la durĂ©e de la mesure et dĂ©termine la pĂ©riodicitĂ© et la durĂ©e des rencontres ». Il ne saurait donc se contenter de fixer le principe des rencontres mĂ©diatisĂ©es, sans en fixer au moins les grandes lignes. C’est cette obligation que vient rappeler l’arrĂȘt rendu par la premiĂšre chambre civile le 4 mai 2017. En l’espĂšce, le juge avait fixĂ© la rĂ©sidence de l’enfant chez sa mĂšre, et prĂ©vu un droit de visite mĂ©diatisĂ© au bĂ©nĂ©fice du pĂšre pour une durĂ©e maximale de six mois. Cet arrĂȘt est cassĂ©, faute d’avoir prĂ©cisĂ© la pĂ©riodicitĂ© et la durĂ©e des rencontres. On rappellera un arrĂȘt rendu au visa de l’article 373-2-9, alinĂ©a 3, du code civil ayant Ă©galement cassĂ© un arrĂȘt ayant dĂ©terminĂ© un droit de visite pour une durĂ©e de douze mois dans les locaux d’un espace de rencontre selon les modalitĂ©s en vigueur dans le service », sans en fixer la pĂ©riodicitĂ© Civ. 1re, 10 juin 2015, n° P. Cette derniĂšre formulation est malheureusement frĂ©quente dans les jugements des JAF,et ne permet pas au parent titulaire d’un tel droit de visite mĂ©diatisĂ© » de contrer l’organisation des associations qui gĂšrent ces rencontres, et qui sont surbookĂ©es


ArticlesL. 6243-2, L. 6243-3 CT et D. 373-1 du code de la sĂ©curitĂ© sociale (CSS) Les cotisations sociales sont calculĂ©es aux taux de droit commun prĂ©vus Ă  l’article D. 242-4 CSS. A l’exception des cotisations d’assurance vieillesse, l’assiette de cotisations est dĂ©terminĂ©e sur une base forfaitaire. Cette base est Ă©gale au
Lorsqu'il est saisi d'une requĂȘte relative aux modalitĂ©s d'exercice de l'autoritĂ© parentale, le juge aux affaires familiales peut attribuer provisoirement la jouissance du logement de la famille Ă  l'un des deux parents, le cas Ă©chĂ©ant en constatant l'accord des parties sur le montant d'une indemnitĂ© d'occupation. Le juge fixe la durĂ©e de cette jouissance pour une durĂ©e maximale de six mois. Lorsque le bien appartient aux parents en indivision, la mesure peut ĂȘtre prorogĂ©e, Ă  la demande de l'un ou l'autre des parents, si durant ce dĂ©lai le tribunal a Ă©tĂ© saisi des opĂ©rations de liquidation partage par la partie la plus diligente.
Lorsquela requĂȘte est rejetĂ©e, l'appel est interjetĂ© dans les formes et dĂ©lais prĂ©vus par l'article 239, alinĂ©a 3 du Code de ProcĂ©dure civile, commerciale et administrative. 3 3 E E L L C C I I T T R AA R L'article 20 de la loi no 64-377 du 7 octobre 1964, relative Ă  la paternitĂ© et Ă  la ïŹliation, est modiïŹĂ© ainsi qu'il suit : U
Enfin l’article 373-2 du Code civil dispose dĂ©sormais que « la sĂ©paration des parents est sans incidence sur les rĂšgles de dĂ©volution de l’exercice de l’autoritĂ© parentale ». Ainsi, il apparaĂźt
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